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Auteurdiagnostique sans mesure.
mars
4555  
     
 Membre averti

mars
  Posté : 11-06-2012 20:16

Bonsoir,

avez vous déjà diagnostiqué une panne d'instal sans sortir le moindre outil de mesure.

Par exemple avec l'experience on sait si un détendeur crache bien ou pas, doigt qui colle aux crosses, vue sur distributeur qui givre ou pas.

C'est l'exemple du détendeur, mais vous comprendrez bien que les exemples sont nombreux






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PL
2320  
     
 Membre averti

PL
  Posté : 11-06-2012 20:34

Bonsoir. Oui bien sur, avec la main le jour d'un RDV de chantier le patron met la main içi et là, regarde tel voyant ouvre le boitier de régulation et pouf! il faut changer ceci cela, vidange d'huile etc etc ...

Pat

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fifi
2225  
     
 Administrateur

fifi
  Posté : 11-06-2012 20:46

Salut mars

je ne vais rien révolutionner mais la pré-détente sur un déshy m'est déja arrivé quelquefois.
Ou au bruit que faisait un compresseur avec un condenseur à eau dont la vanne d'arrivée d'eau justement était fermée.....

Dans ce métier, si tu oublies l'humidité, l'humidité ne t'oublie pas

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ideam
96  
  

ideam
  Posté : 11-06-2012 21:09

Moteur ventilateur condenseur HS sur un petit groupe ou il est en // avec le compresseur
Ouai je sais c'était facile

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doug
464  
    
 Membre averti

doug
  Posté : 11-06-2012 21:14

Slt à tous,
Ben moi j'ai tendance à poser d'abord mes mains un peu partout quand j'arrive sur une install... La temp de ref cp en 1 er temps, la sortie condenseur, la temp d'aspi cp, la main devant le ventilo sur l'ue et sur l'ui donc voila avec l'expérience on peut évaluer plus ou moins BIEN les bonnes températures...

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dmarco
5962  
     
 Modérateur

dmarco
  Posté : 11-06-2012 21:28

Bonsoir mars,

J'aurais tendance à dire que les meilleurs outils du frigoriste ... ne sont pas forcément dans sa caisse à outil!

Bien sûr, il te faudra toujours diverses clés plates, à molette, à pipe, des tournevis, multimètres, ect ... mais tes yeux, tes oreilles, tes mains et tes connaissances du circuit frigorifique te seront tout aussi utiles.

Un voyant qui bulle ( ou pas ) ...
Un détendeur qui siffle ( bruit caracteristique de mauvaise alimentation liquide ) ...
Un delta T amont/aval trop important sur un déshydrateur ( par exemple ) ...
Le doigt humide qui "colle" ( ou pas ) sur du givre ...
ect... ect ...

Autant de signes pour lequel nous n'avons pas besoin d'outils spécifiques pour avoir une approche du problème qu'il nous faut résoudre.

Bien sûr, pour affiner nos décisions ( et parfois, ne pas paraître trop superficiel dans notre idée vis-à-vis du client ), nos outils " traditionnels " ne sont pas très loins.

@+

Au choix:

- Il faut toujours se fier à la première impression, surtout si elle mauvaise. ( Oscar Wilde )

- Si vous traitez un individu comme il est, il restera ce qu'il est.
Mais si vous le traitez comme s’il était ce qu'il doit et peut devenir, a

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chouchen56
827  
    
 Membre averti

chouchen56
  Posté : 12-06-2012 11:37

hum hum hum .... ca sent la garniture qui fuie !!!

i love NH3

bah c'est ça aussi !!!!

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biloute
1201  
     
 Membre averti

biloute
  Posté : 12-06-2012 16:17

bonne lecture (source cours general du froid dans les téléchargements):
SENTIR LITTERALEMENT UNE INSTALLATION DE REFROIDISSEMENT
L’objectif de cet article est de jauger les possibilités de la technique utilisée par les techniciens du froid expérimentées pour se faire une idée des températures de fonctionnement des différentes parties d’une installation frigorifique. Comme cette technique n’est pas enseignée dans les écoles, ni décrite dans aucun livre professionnel, et qu’elle ne peut s’acquérir que par l’expérience, cet article pourrait être intéressant pour tout le monde.
Certains utilisent peut-être cette technique de manière inconsciente, d’autres sont étonnés ou affolés de voir un vieux briscard commencer par tâter toutes les canalisations autour du
compresseur d’une installation frigorifique défectueuse. Dans beaucoup de cas un tel toucherpeut déjà donner une idée sur la voie à explorer. La technique du toucher permet d’éliminer certaines causes sans faire des mesures. Il se fait que les températures déterminantes de fonctionnement d’une installation frigorifique sont du même ordre de grandeur que la température de la main.
GENERALITES
Comme la technique d’appréhension de la température par le toucher est d’apprentissage
facile, elle peut de faire gagner du temps dans beaucoup d’interventions lorsqu’elle est utilisée
en conjonction avec les lectures effectuées sur un manifold. Mais avant tout, nous devons
connaître la température de la paume.
La température de la paume varie de 29°C à 33°C dans la plupart des cas, dépendant des
individualités, de la température ambiante, de l’état de santé,…
Voilà pourquoi, il est conseillé de mesurer d’abord la température de la paume au moyen d’un
thermomètre. Un thermomètre médical fait parfaitement l’affaire. Il ne faut pas oublier que
cette température variera souvent les saisons et suivant votre santé. Il est donc prudent de
vérifier régulièrement cette température.
APPRECIATION DU SOUS-REFROIDISSEMENT
En conditions normales de fonctionnement, les installations frigorifiques commerciales et les
climatiseurs sont refroidis à l’air, la température de condensation étant comprise entre 40 et 45°C. Considérant un sous-refroidissement courant de 5K, la température à la sortie du
condenseur doit se situer autour de 35°C – 40°C. La faible différence de température entre le
liquide quittant le condenseur (35°C-45°C) et la main (30°C-33°C) permet, avec un peu d’exercice, d’évaluer rapidement et de manière précise le sous-refroidissement.
Pour se faire une idée plus précise, prenons l’exemple d’un technicien dont la main est à
31°C. Il, ou elle, prend en main la conduite contenant le liquide. Si on ne peut tenir la main
sur la conduite, la température de celle-ci est supérieure à 45°C, avec la conséquence qu’une
évaluation exacte est très difficile. Pour éviter de se brûler, il est conseillé de pousser d’abord
avec un doigt sur la conduite avant de la prendre en main. Une conduite de refoulement peut
atteindre facilement 80°C. Ce n’est que dans le cas où on sent un léger chaud, signifiant que
la conduite est 31°C, que la sensation de chaleur est importante.
Avec un peu d’entraînement, il est parfaitement possible de déterminer à la main une
température avec une précision proche de 1°C. Après la « mesure » de la température du
liquide, il suffit de lire la pression sur le manifold haute pression pour pouvoir estimer
directement le sous-refroidissement.
Lorsque le technicien a la sensation d’un léger chaud en touchant la conduite en aval du
condenseur, il admet que la température est de 35°C. Dans le cas du gaz réfrigérant R22, si le
manomètre indique une pression de 14.7 bar, ou une température de condensation associée de
41°C, nous arrivons par le calcul à un sous-refroidissement de 5K. Ces 41°C peuvent
également être appréhendés au toucher dans la plus grande partie, mais souvent la partie
centrale des conduites du condenseur.
C’est une manière d’évaluer in extremis le sous-refroidissement, sans connecter de
manomètre au condenseur ; d’une main on apprécie la température sur la conduite à michemin
du condenseur, et de l’autre main à la sortie du condenseur.
On ne peut appliquer cette méthode que sur une installation stabilisée. Une installation qui
vient d’être mise en service sera à certains endroits à une température différente que dans uneinstallation fonctionnant depuis quelque temps. Les différentes masses doivent avoir le temps de se mettre à température.
L’APPRECIATION D’UNE DIFFERENCE DE TEMPERATURE
La plupart des techniciens connaissent bien la technique de détection d’une différence de
température à l’aide des deux mains. Elle est également décrite dans nombre de livres
professionnels.
Cette méthode est relativement précise : une différence de température de 3K est parfaitement
identifiable avec les deux mains. Et avec un peu d’exercice on arrive à déceler une différence
de température de 2k.
Prenons un cas d’école pour déterminer si un sécheur est obstrue ou non. Dans le cas de K2
on parle d’obstruction naissante. Le liquide entre dans le sécheur à 35°C, et en sort à 33°C.
Nous avons tous appris qu’il faut placer une main sur la conduite à l’entrée, et l’autre à la
sortie. Nous maintenons les mains suffisamment longtemps, de sorte qu’elles se mettent à la
même température que les conduites.
Notre cerveau détectera déjà en ce moment une main « froide » et une main « chaude ». Si
nous échangeons rapidement les deux mains, la main chaude devient la main froide et viceversa,
chaque main sentira tout à coupe une différence de 2K, mais qui se traduira par le
doublement artificiel de la sensation, 4K. Cette technique permet donc de déterminer des
petites différences de températures sans instrument de mesure.
L’APPRECIATION D’UNE TEMPERATURE INFERIEURE A CELLE DE LA MAIN
Si on n’a une sensation de froid, ni une sensation de chaud au toucher d’une conduite, on peut dire qu’elle est à la même température que la main. Dans le cas d’une impression de froid, la
différence de température est plus difficile à évaluer, surtout si elle est importante. Dans ce
dernier cas on fait appel à une technique spécifique, applicable surtout quand la température ambiante est inférieure à la température de la main.
La technique consiste à prendre d’abord en main un objet métallique, dont la température
correspond à peu près à la température ambiante. Cet objet peut être le tableau de
commutation ou le châssis du compresseur. Il n’est ni froid, ni chaud par rapport à
l’environnement. Laissons notre corps appréhender quelques secondes cette température. Si
nous saisissons ensuite une conduite froide, nous pouvons dire si elle est plus froide ou plus
chaude que l’environnement. Nous pouvons donc nous forger une idée de la différence de
température par rapport à l’environnement (la même température, température plus haute,
plus basse ou beaucoup plus basse…).
Même si la conduite est gelée il y a moyen de mesurer des différences de température. Si la
glace, dégelée par la main, regèle instantanément, la température est beaucoup plus basse que
0°. Si l’eau de dégel formée ne regèle pas directement, on peut ire que la conduite est plus ou
moins à 0°C.
Attention, si nous touchons une conduite à -20°C, notre main se refroidit de 50K. L’effet sera
approximativement le même que si nous chauffions la main de 50K.
APPRECIATION DE LA TEMPERATURE DES GAZ DE REFOULEMENT
Il ne serait pas intelligent d’apprécier à la main la température des gaz de refoulement.
Malgré tout, avec un peu d’expérience on peut se faire une idée de l’état d’une installation.
Dans une installation R314a, on peut encore toucher quelques instants la conduite de
refoulement.Une installation qui fonctionne avec de l’air dans le système se trouve le plus souvent à une
température supérieure à 100°C. Au risque d’être quelque peu grossier, il suffit de cracher sur
la conduite de refoulement pour voir si elle est au-dessus ou en-dessous de 100°C.
CONCLUSION
La technique d’appréhension de la température à la main en tant qu’aide au diagnostic d’un
système frigorifique peut donner une image plus juste d’un éventuel dysfonctionnement.
Surtout sous-refroidissement et surchauffe se prêtent particulièrement bien à l’évaluation.
Comme c’est le cas de la plupart des techniques, celle que nous venons d’exposer doit être
consolidée par l’expérience, et au débit, comparée aux résultats d’un thermomètre. Nos mains
cependant ne remplaceront jamais un bon thermomètre.
Beaucoup de techniciens veulent résoudre un problème directement, ou faire un premier
diagnostic en utilisant des appareils de mesure, et introduisent volontiers l’omniprésent
ordinateur.
L’ordinateur a fait son entrée dans nombres d’applications, pensons simplement aux
installations plus complexes de climatisation : on attend de lui qu’il résolve les problèmes.
Rien n’est moins vrai, et heureusement.
Le premier diagnostic doit toujours être fait par les organes sensoriels. Le médecin fait de
même, il écoute d’abord. Il faut d’abord éclaircir les antécédents avant de commencer le
diagnostic. Il est souhaitable que le technicien, particulièrement le frigoriste, fasse de même.
Cette manière de faire devrait être un méthode de travail innée, un automatisme : observer
l’installation avec ses organes sensoriels avant de commencer à mesurer. Les appareils de
mesures confirmeront ensuite ce qu’on soupçonnait, ou en donneront une image plus correcte.
Le premier article traitait du toucher d’une installation par les mains, afin de se forger une
idée de la température des différents composants. Il va de soi que le technicien doit connaître
les températures d’une installation en fonctionnement normal. C’est également valable pour faire un diagnostic au moyen d’instruments de mesure.
ECOUTER
La première chose qu’un technicien doit faire est écouter, et ceci de plusieurs manières.
Ecouter l’histoire du client. Même si le client n’est pas un technicien averti, ses explications
contiennent toujours des informations utiles au diagnostic. C’est au technicien de filtrer les
éléments utilisables des propos du client. Il est donc nécessaire de poser beaucoup de
questions ciblées pour dégager les informations utiles. Des informations inutiles pour le
client peuvent être très intéressantes pour le technicien.
Les informations données permettront d’éliminer déjà un certain nombre de causes du
problème.
Si l’installation a été placée par d’autres, il faut d’abord essayer de se faire une idée de leur
méthode de travail. Si on est appelé après qu’un autre technicien ait gaffé, il faut être
doublement prudent. En posant des questions ciblées, il faut essayer de savoir ce qui a été
fait. Un bon de travail laissé sur place peut aider beaucoup. Il est possible que certains
problèmes soient la conséquence directe de la dernière intervention, et qui n’on rient à voir
avec le problème initial.
Ainsi, je me suis un jour retrouvé auprès d’une installation qui avait visiblement subi une
réparation de fuite. Après la réparation, l’installation ne fonctionnait plus normalement ;
l’équipement s’échauffait anormalement, le clixon le mettait en sécurité. Le technicien n’a pu
résoudre le problème. Après diagnostic, il s’est avéré que ce n’est pas le bon gaz réfrigérant
qui avait été introduit dans l’installation. Le problème initial, la fuite, a bel et bien été résolu,mais un nouveau problème a été créé. Le client en déduit, faussement, que le problème n’a
pas été résolu.
Il ne faut pas non plus partir du principe que dans une installation récente, tous les
composants ont été harmonisés entre eux. Le passage dans un détendeur n’est peut-être pas
approprié, l’évaporateur choisi peut être trop petit pour le compresseur, les tuyaux n’ont peutêtre
pas le bon diamètre, le circuit de la tuyauterie peut avoir été mal monté ou ne pas être
adapté. Bref, il faut être critique.
Mais, l’écoute peut aller plus loin. Ecouter l’installation elle-même.
Il faut se familiariser avec le bruit spécifique. Un Bitzer produit un tout autre bruit que par
exemple un DWM ; un appareil hermétique d’Unité Hermétique produit un bruit tout à fait
spécifique, très facile à distinguer par exemple d’une unité hermétique Maneurop. Un
équipement scroll dégage un bruit très typique reconnaissable entre tous.
Avec un peu d’expérience on remarque qu’un bruit anormal peut fournir des informations
utiles. On entend les appels de courant d’un équipement lourdement chargé. Lorsqu’un
équipement évolue vers un arrêt de pompage, on entend un bruit diminuant en intensité ; le
spectre du bruit change également. On entend également quand un équipement tourne sous la
pleine charge, quand il n’y a pas assez de réfrigérant, ou lorsqu’un bouchon est formé quelque part dans le circuit basse pression.
Dans le cas d’une machine hermétique on entend un cliquetis typique lorsque le clixon
indique un courant trop élevé. Ceci peut être la conséquence d’un blocage du compresseur ou
d’un problème dans le circuit de démarrage.
Si on soupçonne que certaines vannes du compresseur fuient, la méthode suivant peut être
intéressante. Prendre un tourne-vis, de préférence avec un poignée ronde, et placer le bout métallique contre le couvercle du compresseur.
Mettre ensuite son oreille à l’extrémité de la poignée en plastique. On est étonné de la clarté
avec laquelle on entend le fonctionnement interne de la machine. Faire également le test sur
un tuyau de fluide ; avec un peu d’expérience on peut déterminer si le tuyau véhicule un gaz
flash.
Un vieux stéthoscope convient encore mieux. Il existe des stéthoscopes industriels qui
amplifient électroniquement le bruit mesuré.
Il convient d’écouter également le bruit d’une machine qui s’arrête ou qui démarre. Il peut
arriver qu’un tuyau frappe le logement ; et parfois on entend cogner de l’intérieur un
composant sur le logement. Cette dernière observation peut se produire dans le cas d’une
machine hermétique lorsque une ou plusieurs suspension sont pliées au même cassées.
Il faut également écouter le détendeur : le bruit est-il continu, ou ressemble-t-il un bruit
sifflant dérangeant, ou est-il franchement sifflant ?
On n’entend pour ainsi dire pas fonctionner une vanne alimentée 100% en fluide. La seule
chose que l’on entend, peuvent être dues à un déséquilibre des palles. Lorsque l’évaporateur
est givré, le bruit du débit d’air devient plus sourd. Il suffit alors de mettre la main sur les
moteurs du condensateur et de l’évaporateur et de voir si le dégagement de chaleur est normal
et uniforme.
REGARDER
Y a-t-il des traces d’huile à l’extérieur ? Elles sont toujours la conséquence d’une fuite : à
l’endroit où il y a une fuite d’huile, il y a également une fuite de réfrigérant. Commecertaines fuites ne sont même pas détectables avec un spray indicateur de fuite, il faut adopter
le point de vue que chaque trace d’huile est le signe d’une fuite de réfrigérant.
Observer le niveau de l’huile du compresseur s’il est pourvu d’un hublot d’inspection. Si le
niveau d’huile est-elle transparente ou trouble ? Y a-t-il de l’écume ? Le hublot se remplit-il
d’écume au démarrage ?
Regarder jusqu’où prote le givrage.
J’ai appris dernièrement l’histoire de Johan, un technicien qui a travaillé dans le passé avec
des équipements relativement grands. L’entreprise utilisait un compresseur Trane couplé à 5
évaporateurs équipés chacun de 8 ventilateurs.
Tous les jours on inspectait les machines, et on contrôlait minutieusement jusqu’où se
propageait le givre sur le tuyau d’aspiration. Dès qu’un des radiateurs tombait en panne, la
longueur de givrage augmentait immédiatement.
Sans avoir vu les évaporateurs, Johan pouvait dire que avec quasi-certitude qu’un des
ventilateurs était défectueux.
EVAPORATEUR
Tous les tuyaux sont-ils givrés uniformément ?
L’évaporateur est-il entièrement démuni de givre ? Il faut également regarder dans le
compartiment à côté de l’évaporateur, là où est monté le détendeur. Tous les ventilateurs
tournent-ils ?
CONDENSEUR
La batterie est-elle complètement dégagée ?
Quand il y a du pollen dan l’air, en avril/mai, un condenseur tout à fait propre peut se boucher
totalement en quelques semaines.
Les condenseurs se trouvant dans un environnement de peupliers sont particulièrement
sensibles à ce phénomène. Le condenseur fonctionne en effet comme un aspirateur ramassant
toutes les poussières.
L’ARMOIRE DE COMMUTATION
Les couleurs de câble virent-elles, ou des raccords de vis ?
Il vaut mieux contrôler les grandes armoires au moyen d’une caméra infrarouge. Les
connexions défectueuses apparaissent clairement sur de telles images.
EN GENERAL
La disparition de composants originaux se trahit-elle par les anciens trous de vis, les
composants sont-ils maintenant fixés avec des courroies de serrage à la place du système de
fixation originel ? Les chemins de câble sont-ils ouverts, les couvercles sont-ils à côté de
l’armoire ?
Les tuyaux sont-ils encore solidement fixés partout ?
UN POINT DE SUSPENSION ORIGINAL AVEC ISOLATION AUTOCOLLANT
Y a-t-il des tuyaux frottant l’un sur l’autre ? Le frottement des capillaires de pressostats est
souvent une cause de fuites. L’isolation de la tuyauterie est-elle intacte partout, est-elle
encore sèche ? Une isolation humide est meilleur conducteur qu’un bon isolateur.
SENTIR
Dans une machine grillée on peut sentir rapidement si l’huile est acidifiée. Pour une certitude
totale, il faut contrôler le degré d’acidité de l’huile.Bref, utiliser d’abord tous les organes sensoriels et toute son intelligence avant de mettre en
oeuvre un manifold ou toutes sorte d’appareillages. Les instruments ne sont utiles que dans la
mesure où l’on peut interpréter les valeurs mesurées. Sinon, même le plus beau des
manomètres numériques est inutile.
L’élimination successive des causes possibles de pannes met le problème plus rapidement en
évidence, et les ramène à un nombre limité de possibilités. C’est alors qu’il est possible
d’établir rapidement un diagnostic correct.
Ces derniers temps on voit trop souvent les techniciens connecter à tout pris leur PC portable
à l’installation, comme si celui-là allait leur livrer le composant en panne. Mais cela ne
fonctionne pas ainsi. Heureusement.
Une installation de refroidissement restera toujours une technique qui ne peut être réparée au
moyen d’un PC portable, malgré toute l’électronique que les fabricants y intègrent.
J’espère que cet article aura été instructif et qu’il contribuera à approcher d’une autre manière
les installations de refroidissement et à établir un diagnostic d’une autre manière.
à+



Message édité par : biloute / 12-06-2012 16:20


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PL
2320  
     
 Membre averti

PL
  Posté : 12-06-2012 16:51

Bonjour. Et bien bravo biloute, tout est dit.

Pat

  Profil  
mars
4555  
     
 Membre averti

mars
  Posté : 12-06-2012 17:37

Bonjour,

biloute, tu as parfaitement resumé l'ensemble de ma pensée .

Effectivement pour a part c'est plus la "fainéantise" qui m'a poussé à développer ces pratiques sensorielles afin de tater l'installation.

Le crachat oui je le pratique , à l'abri du client bien sur et cela donne de bon résultat.

Effectivement pour les débutants essayez de toucher les installations quand elles marchent bien afin de sentir ce qui se passe et je vous dis rendez vous dans quelques années afin que vous developpiez cette qualité de fainéantise

L'exemple du chant des compresseurs, est super , effectivement ça s'apprend.

Ne pas etre dérouter lors de l'arrêt d'un scrool qui braille légérement, chose inexistante sur un piston et inquiétante si présente.

Une vis fera un bruit continu et regulier avec un demarrage tout autant spécial.

Un piston maneurop demarre avec un claquement plus important à mon goût et out autant à l'arret qu'un Unité Hermétique..

Un bitzer et un copeland ont un bruit différent pour des machines à fonctionnement similaire.

Je dirais que le copeland a un bruit plus aigu alors qu'un bitzer à mon sens a une intonation légèrement grave.

Le coup du tournevie sur les tête de culasse, c'est aussi une technique à apprendre par la pratique longuement répétée.

La premiere et les premières fois on n'entend rien ou on ne sens rien, puis ça vient doucement.

quand je rentre dans mes sdm je sais si ça tourne rond ou bien pas.

le bruit du fluide dans les collecteurs m'indique aussi si beaucoup ou peu de demande froid.

Le bruit de mon bouteillon d'huile en phase d'alimentation m'indique aussi si ma pression "henry" est correcte ou pas.

Un coup de clef à molette sur les bouteillon afin de jauger les niveaux réels qui peuvent etre faussé par un voyant sale ou une bille d'indication bloquée

Oui je suis sur que l'expérience, la pratique et le temps nous permettent de jauger des pannes ou futures pannes sans sortir le moindre outils.

attention cepandant dans quel contexte on ne fait pas un diagnostique dvant le client de la sorte

Même si l'interprétation est bonne, le client aime voir de l'outillage qui conforte son sentiment d'avoir un pro devant lui.

ça m'arrive d'avoir fait es diagnostiques à la main et de juste approché mes outils à côté afin de "rassurer" le client.



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glagla
2284  
     
 Modérateur

glagla
  Posté : 12-06-2012 23:44

Citation : mars 


attention cepandant dans quel contexte on ne fait pas un diagnostique dvant le client de la sorte

Même si l'interprétation est bonne, le client aime voir de l'outillage qui conforte son sentiment d'avoir un pro devant lui.

ça m'arrive d'avoir fait es diagnostiques à la main et de juste approché mes outils à côté afin de "rassurer" le client.

@+



si tu mets ceux qui brassent de l'air d'un côté ...et ceux qui te pompent de l'autre...tu as la climatisation gratuite 


euh!!!on doit pas avoir les même client, car le client s'en tape de l'outillage, de la tête du technicien, de son age ...
tu prends n'importe quel client tu mets deux technicien devant lui

le premier a tous l'outillage dernier crie, une cinquantaine d'années (donc pour le client un tech avec experience), un bon phraser, par contre en partant de chez le client ca marche toujours pas et le clients vient de perdre de la marchandise.

le second outillage quasi inexistant et en très mauvais etat, très jeune (donc pour le client tech sans experience)tres rentre dedans et limite vulgaire, par contre en partans de chez ce client, l'instalation marche et il n'y a pas de perte de marchandise.

donc je te le donne en milles qui le client prefereras t-il rappeler, le tech aux beaux outil, ou le tech aux outils pouril

@+



si tu mets ceux qui brassent de l'air d'un côté ...et ceux qui te pompent de l'autre...tu as la climatisation gratuite

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Lukycold
779  
    
 Membre averti

Lukycold
  Posté : 13-06-2012 09:35

Citation : glagla 

Citation : mars 


attention cepandant dans quel contexte on ne fait pas un diagnostique dvant le client de la sorte

Même si l'interprétation est bonne, le client aime voir de l'outillage qui conforte son sentiment d'avoir un pro devant lui.

ça m'arrive d'avoir fait es diagnostiques à la main et de juste approché mes outils à côté afin de "rassurer" le client.

Milles victoires sur mille ennemis ne valent pas une seule victoire sur soi-même. (Précepte de Bouddha ) 


euh!!!on doit pas avoir les même client, car le client s'en tape de l'outillage, de la tête du technicien, de son age ...
tu prends n'importe quel client tu mets deux technicien devant lui

le premier a tous l'outillage dernier crie, une cinquantaine d'années (donc pour le client un tech avec experience), un bon phraser, par contre en partant de chez le client ca marche toujours pas et le clients vient de perdre de la marchandise.

le second outillage quasi inexistant et en très mauvais etat, très jeune (donc pour le client tech sans experience)tres rentre dedans et limite vulgaire, par contre en partans de chez ce client, l'instalation marche et il n'y a pas de perte de marchandise.

donc je te le donne en milles qui le client prefereras t-il rappeler, le tech aux beaux outil, ou le tech aux outils pouril

Milles victoires sur mille ennemis ne valent pas une seule victoire sur soi-même. (Précepte de Bouddha ) 


Salut les givrés,

Trés beau laïus Mr Biloute, repect et révérence....

Ce post me plait.


Quand à Glagla quelqu'un m'a dit un jour "Il vaut mieux satisfaire l'oeil que le niveau" Cela résume l'analyse que font en règle général les clients lorsque tout est beau et propre mais ne fonctionne pas.

Alors que si tu fait un boulot pas super propre car les éléments diverse et variés ne te le permette pas mais que tout fonctionne à la perfection on te fera chier!

Quand à cette pratique du toucher ecouter ronronner les vieux me l'ont transmise et il est vrais que je fais c'est manipulation tellement naturellement que cela me prend que quelque seconde au bruit pour savoir si cela tourne rond.

J'ai toujour dit que un bon dépanneur est un faignant il ne sort les outils que lorsque il a fait c'est analyse!

Et aussi que tu ne dois jamais dire que tu est grand ce sont les autres qui doivent le dirent (en rapport avec tes compétances qui font de toi un trés bon technicien).

A+

Milles victoires sur mille ennemis ne valent pas une seule victoire sur soi-même. (Précepte de Bouddha )

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glagla
2284  
     
 Modérateur

glagla
  Posté : 13-06-2012 21:10

bonsoir à tous

lucky je ne parle pas d'un boulot propre ou degeulasse, je parle bien de l'outillage.
maintenant oui le toucher et l'ouie sont utile en depannage, et je n'ai pas dit le contraire, mais le client s'en tape de ton outillage, ce qui compte pour lui c'est le resultat final.....vous le dites vous même, on arrive a depanner (par moment) s'en sortir le moindre outil, si les outils étaient si important, on les sortiraient pour faire beau, mais on en ressent pas le besoin

@+



si tu mets ceux qui brassent de l'air d'un côté ...et ceux qui te pompent de l'autre...tu as la climatisation gratuite

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agfroid
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agfroid
  Posté : 14-06-2012 08:42

salut

pour ma part loirsque j'arrive sur une intervention, je fais toujours un 1er "round" d'observation"!! ceci sans outils, je fais le tour de l'instal pose mes mains sur le cp, à l'aspi....
et en général, je dirai 2 fois /3, le diagnostic se précise à ce moment là!!
que se soit à l'oreille, au toucher, ou à la vue aussi, il m'arrive souvent de faire le diagnostic sans outils et de ne les sortir que pour confirmer le diagnostic et bien sur pour le dépannage!!

A+

AGFroid

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agfroid
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 Membre averti

agfroid
  Posté : 14-06-2012 13:15

re
ce matin je me suis bien fait avoir par mes mesure à la main, enfin sans instruments!! :paf
un groupe froid bi-T°, monter sur un camion, avec 2 évaps, la T° ne descends pas en dessous de 7°c ou 6°c, le voyant bullait un peu puis se remplissait, puis se revider mais au toucher j'étais sur que ce n'était pas un manque de charge, à l'oreille pas de détendeur qui siffle...
alors je commence à dire au client que je sais pas ce qu'il se passe, et qu'il va falloir que je revienne avec plus d'info sur la bebete :paf mais quand meme, je me dit que je vais monter les manos car j'ai quand meme un doute avec le voyant qui bulle!
bref je monte les mano et l surprise: bp= -40°c, hp= 32°c pour 27°c en ambiance, sctotale= 60K, et sr= 2K!!! :paf :paf
je fais une recherche de fuite au détec electronique, mais je n'ai rien trouver, et en démontant les évap, j'ai pu confirmer mon diagnostic car les évap ne givrait qu'en sortie du detendeur!
j'ai prevu de faire un devis au client avec récup de la charge et pesée pour confirmer le manque de ff, et test d'étanchéité à l'azote + recharge en ff neuf.
d'ailleur j'ai ouvert un post à ce sujet: si quelqu'un à de la doc sur un Carrier Genesis R70 avec la quantité de gaz et le schéma du circuit frigo, ça m'interresse!!

tout ça pour dire que les mesure à la main c'est bien, mais il faut de l'expérience pour ne se fier qu'à ça!
pour ma part il vaut mieux que je continue à confirmer avec l'outillage!!

A+

AGFroid

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mars
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 Membre averti

mars
  Posté : 02-07-2012 21:14

Tu aurais pu le voir en touchant la sortie condenseur qui devait etre quasi à température ambiante voir un chouille plus.

Je viens de diagnostiquer une Akv foireuse à savoir passante quand la demande en froid est suspendue ( consigne atteinte et ou degivrage)

J'arrive la vitrine en givre complet, je degivre à l'eau chaude, mais vois malgré la mise à 0 de l'inter générale du thermostat ( parametre sur PC froid AKM), un givrage de mes crosses malgré le degivrage en cours.

je me suis dis au début que ça pouvait etre un reste de fluide mais avec le doigt mouillée ça collait sur les crosses.

Après degivrage et toujours la mise à OFF de la fonction thermostat, la vitrine descendait seule en température.

remplacement du noyau, joint et filtre, et remise en marche fonctionnement impec.

le touché est fiable mais faut savoir l'exploiter, tout ne se fera pas evidemment fait de la sorte mais au niveau fluidique avec l'expérience je pense que plus de 50% ds pannes peuvent etre résolu de la sorte.

le mieux c'est de s'habituer sur des install qui fonctionne et de les palper afin d'avoir des reperes.

Pour les débutants allez y touchez les install et vous verrez.





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simx4p4
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simx4p4
  Posté : 07-02-2013 17:58

Bonsoir à tous,
Je remonte le sujet car j'ai lu plusieurs fois que mouiller son doigt et le poser sur les crosses pouvait nous indiquer un dysfonctionnement mais lequel ??
Désolé de cette question qui peut paraître "bête"

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drag
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drag
  Posté : 07-02-2013 18:45

salut a tous
effectivement , tres bon article pour les jeunes et moins jeunes en depannage .
attention au doigt mouillé sur les surgelés qui marchent....ça colle...tirer pour les enlever.
en gros, plus ça colle , plus ta BP est basse.
voir comment ca colle sur chaque crosse de batterie, de l'entrée vers la sortie. on évalue le remplissage de la batterie
je répète les posts, oui il faut toucher , toucher, jauger, évaluer....avec ses mains.
ca me semble indispensable
a plus
a plus

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simx4p4
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simx4p4
  Posté : 07-02-2013 18:55

Merci pour ta réponse drag !
C'est vrai je débute dans le métier et je vais commencer a utiliser ces techniques du touché qui peuvent être très très bénéfique ! Donc je pense avoir encore des questions

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drag
217  
   

drag
  Posté : 07-02-2013 19:10

re
je rectifie un peu.
plus ca colle , plus la BP est basse, ca c'est quand ca marche bien. cad. quand le gaz passe bien au détendeur.
ca colle bien après un dégivrage, au redemarrage
a plus

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simx4p4
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simx4p4
  Posté : 07-02-2013 20:21

Je n'ai pas compris le principe de cracher sur le refoulement ? Détecter une température supérieure a 100 degrés ?

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netsu
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netsu
  Posté : 07-02-2013 20:32

Citation : simx4p4 

Je n'ai pas compris le principe de cracher sur le refoulement ? Détecter une température supérieure a 100 degrés ? 

oui... De l'eau récupérée sur l'aspi, ça marche aussi!

le froid est un état d'esprit.

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simx4p4
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simx4p4
  Posté : 07-02-2013 20:36

D'accord merci netsu !
Et la sortie d'un détendeur givré est synonyme d'un manque de gaz ? Et donc lorsque c'est entièrement le détendeur qui est givré ??

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glagla
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 Modérateur

glagla
  Posté : 07-02-2013 20:44

bonsoir a tous

une autre astuce aussi pour voir si les ventilos condenseur tourne dans le bon sens, tu te met sur le condenseur et tu pisses sur le ventilo, fait atention tous de même, car si il tourne dans le bon sens

oui oui je connais le chemin a suivre vers la sortie

@+



si tu mets ceux qui brassent de l'air d'un côté ...et ceux qui te pompent de l'autre...tu as la climatisation gratuite

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netsu
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netsu
  Posté : 07-02-2013 21:08

Citation : simx4p4 

D'accord merci netsu !
Et la sortie d'un détendeur givré est synonyme d'un manque de gaz ? Et donc lorsque c'est entièrement le détendeur qui est givré ?? 


Prend un évap avec par ex 30 crosses et mettons que la machine est sencé évaporer à -6(machine simple: 1CP,1evap,1condenseur).

Si tout marche bien tu aura en gros les 3/4 de tes crosses givrées mais un doigt mouillé collera à peine dessus.

En cas de mauvaise alimentation de ton détendeur( manque de FF par ex), Le débit de FF sera faible, La BP basse et la surchauffe très grande et donc tu n'aura qu'un petit nombre de crosses givrées et elles seront très froides(ton doigt mouillé collera beaucoup plus).

Bref, regarder seulement le détendeur ne suffit pas! givré ou pas, il faut aller plus loin



le froid est un état d'esprit.

Message édité par : netsu / 07-02-2013 21:09


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mwamwa
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mwamwa
  Posté : 09-06-2013 15:19

GLAGLA


n'oublions pas qu'il y a ne serai-ce que 10 ans mon tuteur ne "jaugeait" ses pannes qu'avec principalement ses sensations (car le boss ne pensait qu'il été totalement inutile d'avoir certains outillage qui dans l'absolu sont nécessaires. Et d'ailleurs après quelques grosse couille que j'ai pu faire il est revenu sur sa 1ere idée... ) et d ailleurs c'était assez déroutant car il touchait et touche encore le mille dans 80% des pannes. Grace a lui a chaque dépannageje met a dispo tt mes sens.
Et sa sert même dans la vie courante quand je fais les course avec ma femme pour lui dire de ne pas prendre a manger dans certains bac surgelé car dégivre tellement que les prodeuits le sont aussi par ex..


QUE LE FROID SOIT AVEC TOI !!!
rien ne se perds rien ne se crée tout se transforme !!






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xavierc
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 Membre averti

xavierc
  Posté : 09-06-2013 19:21

Citation : glagla 

bonsoir a tous

une autre astuce aussi pour voir si les ventilos condenseur tourne dans le bon sens, tu te met sur le condenseur et tu pisses sur le ventilo, fait atention tous de même, car si il tourne dans le bon sens

oui oui je connais le chemin a suivre vers la sortie


Désormais, tout le monde connait tout, mais personne ne sait plus rien faire 

Bonjour,
Celle ci je l'avais loupée!!!!
Le préalable est quand même de boire de la bière ???
Merci pour les bons conseils du professeur Glagla

Xavier

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